Tout ce qui aurait dû nous heurter et qui ne nous a pas heurté

Je reprends mon blog, la situation m’y oblige.

Voilà 1an et demi maintenant que le Covid nous occupe et préoccupe beaucoup certains.

Reprenons l’analyse depuis le départ. Ce virus venu de Chine, probablement issu de Wuhan, du labo, pas du labo ? Les suspicions sont fortes, la vérité pas établie, mieux vaut ne pas la divulguer sans doute. Ce virus venant de Chine ne devait pas selon les Instances suprêmes de notre pays, nous concerner, il a concerné la planète entière. Mme Buzyn a même fait les frais d’un déplacement à Roissy pour aller apposer des affichettes prévenant du virus éventuel. Mme Buzyn est médecin et pense que des affiches dans un aéroport devaient suffire à empêcher le virus de rentrer dans le pays.

Cela aurait dû nous interroger, cela ne nous a pas interrogé

Dès janvier 2020, la choriquine, médicament utilisé depuis 70 ans tout de même, tombé dans le domaine public était déclaré, par le ministère de la santé conduit par Mme Buzyn qui semble avoir quelques liens avec le labo de Wuhan et le virus, toxique et dangereuse, alors que des millions de gens l’ont pris et n’en sont pas morts et ont été soignés grâce à ce médicament.

Ceci aurait dû nous interroger, ceci ne nous a pas interrogé

L’explication de cette interdiction bien tardive de la choriquine, nous arrive dès février 2020 quand un professeur totalement inconnu pour la plupart des Français annonce que justement la chloriquine peut quand elle est prise au tout début des signes de contamination du virus, en réduire considérablement et rapidement les effets. Ce professeur avait certainement prévenu de sa trouvaille, d’où cette dangerosité subite qui nécessitait son interdiction.

Quand il y a une épidémie aussi étendue et aussi forte qu’on nous l’a présentée et qu’on nous la présente toujours, le bon sens, l’intelligence, veulent que l’on soigne les malades et même si le virus était inconnu (on peut aujourd’hui se poser la question) on saute sur toutes les trouvailles pour tenter de juguler l’épidémie et faire en sorte que les gens guérissent et non qu’ils meurent faute de soin. Non seulement on a interdit la choliriquine, mais on a interdit aux médecins de soigner et poursuivis ceux qui ont appliqué leur serment d’Hippocrate. Le doliprane était la seule thérapie.

Ceci aurait dû nous heurter, ceci ne nous a pas heurté  

Avec l’annonce de cette trouvaille un déchaînement de haine, de diffamation, d’injures, d’insultes ne cesse de nous inonder. À commencer par ce professeur, mondialement connu et reconnu, qui a occupé et qui occupe encore de hautes fonctions à Marseille est devenu un gourou, un charlatan. C’est au bout de 40 ans d’exercice du métier de chercheur et de professeur que l’on s’aperçoit que le quidam est un charlatan ?

Ceci aurait dû nous interpeller et nous heurter, ceci ne nous a pas interpellé ni heurté

À la télévision nous avons droit à un défilé de savants parisiens qui pour des médecins devant faire face à une très grave épidémie passent plus de temps sur des plateaux TV que dans le service qu’ils sont sensés diriger nous inondent de leurs théories plus alarmistes les unes que les autres, mais peut-être suivent-ils les mêmes conseils que ceux donnés par le préfet de la Guadeloupe : « On adopte un ton grave, catastrophique, pas moralisateur, mais juste catastrophique »

Dans une épidémie très grave, dans une société normale et pleine de bon sens, la place des médecins n’est pas sur des plateaux TV matin/midi/soir mais dans leur hôpital auprès des malades puisqu’ils sont si nombreux et dans un si triste état.

Ceci devrait nous heurter, ceci ne nous heurte pas.

Dans une épidémie soi-disant très grave et très mortelle, on a interdit de soigner les malades, peut-être parce que la majorité d’entre eux étaient très âgés et que finalement mourir 1an plutôt ou 1 an plus tard…. Pour privilégier un vaccin expérimental destiné aux seuls bien portants, qui doivent signer un consentement éclairé qui dit en clair que la personne souhaite être vaccinée tout en sachant que ce vaccin peut avoir des effets secondaires présentés comme minimes, à priori tous ne semblent pas si minimes que cela.

L’exigence du consentement éclairé qui fait que c’est la personne qui demande à recevoir ce produit expérimental en toute connaissance de cause.

Ceci aurait dû nous interpeller et nous heurter, ceci ne nous a pas interpellé ni heurté

Aujourd’hui, c’est l’entrée en vigueur du passe sanitaire qui n’a de sanitaire que le nom et qui n’a qu’un seul but contraindre à la vaccination sans l’obliger réellement puisque à ce moment-là, les pouvoirs publics endossent la responsabilité, et que la loi internationale, l’interdit, c’est ultra vicieux. Mais si l’épidémie justifie un tel machin, Tout le monde et tous les lieux devraient être concernés, parce que le virus ne fait pas la distinction ni des individus ni des endroits, or tel n’est pas le cas. Juridiquement fait fi de tout ce qui régit notre société (j’y reviendrai)

Ceci devrait nous heurter, ceci ne heurte pas grand monde.